L’avocat d’entreprise est un avocat qui travaille pour une entreprise, en tant que salarié.
Il peut être amené à travailler avec de nombreux partenaires (banques, experts-comptables, commissaires aux comptes, etc.).
L’avocat d’entreprise conseille et assiste les dirigeants d’entreprises ou leurs actionnaires dans la réalisation de leurs projets.
Il intervient également dans des opérations de restructuration ou de fusion-acquisition.
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L’avocat d’affaires et les contrats commerciaux
Le Code de commerce français et le droit des contrats sont les principales sources du droit des affaires.
Les contrats commerciaux ont la particularité d’être régis par deux grands types de règles distinctes : tout d’abord, celles qui concernent les relations entre les personnes physiques ou morales, puis celles qui régissent les relations entre ces mêmes personnes et leurs cocontractants (prestataires, fournisseurs, clients). En outre, il est important de noter que certains contrats peuvent être qualifiés d’acte de commerce ou d’acte civil. En effet, en fonction du type de cocontractant et du type d’opération effectuée, un contrat peut être considéré comme un acte commercial ou un acte civil.
La qualification du contrat dépend donc essentiellement des circonstances particulières liées à l’opération contractuelle. Ainsi, si une opération doit permettre à l’un des parties signataires de tirer profit d’une activité concurrentielle définie par le code pénal comme étant « toute manœuvre ou procédure ayant pour objet directement ou indirectement soit d’empêcher un concurrent potentiel de fournir un bien ou service au public en violation des dispositions législatives ou réglementaires applicables aux pratiques restrictives de concurrence », alors elle sera qualifiée « d’acte commercial ».
Le choix entre cette qualification et celle « d’acte civil » dépendra donc non seulement des circonstances particulières liées à l’opération contractuelle mais également du statut juridique des parties signataires ainsi que du type et du mode d’exploitation envisagés par ceux-ci.
La propriété intellectuelle et les brevets
Il est important de protéger une invention, car elle peut être source d’avantages concurrentiels. Une entreprise qui dépose un brevet a l’opportunité de présenter son produit et de s’assurer que celui-ci ne soit pas copié ou imité. En effet, il est impossible de copier une idée si celle-ci n’a pas été déposée à titre de propriété intellectuelle par son propriétaire. Cela permet également d’empêcher les concurrents d’exploiter librement une idée originale, en la reproduisant ou en la modifiant à leur guise.
Le dépôt d’un brevet peut donc permettre de gagner des points face à vos concurrents et d’obtenir ainsi un avantage concurrentiel certain.
Il faut savoir que toutes les inventions ne peuvent faire l’objet d’un dépôt de brevet : il existe des critères spécifiques pour pouvoir bénéficier du régime du brevet (on parle alors «d’invention brevetable») et obtenir un titre valable sur le territoire français («brevet français»). Un brevet permet également au titulaire du droit intellectuel d’interdire l’utilisation commerciale dans certains pays sans avoir besoin de recourir aux services d’une agence spécialisée.
Lorsque vous déposez une demande de protection par le biais du système international, cette protection sera accordée au niveau mondial, ce qui veut dire qu’il sera possible pour vos concurrents situés n’importe où sur la planète de se procurer votre invention sous forme industrielle sans autorisation préalable de votre part.
La gestion des risques et des litiges
La gestion des risques et des litiges est une partie importante de la vie d’une entreprise.
Il faut savoir que les litiges sont souvent nombreux, mais qu’il est possible de les prévenir. Pour cela, il faut être en mesure d’anticiper les risques.
Il faut aussi être en mesure de gérer ce type de situations sans pour autant nuire à la bonne marche de l’entreprise. Pour éviter tout conflit, il est important d’être en mesure de communiquer et d’avoir un langage positif et constructif avec ses collaborateurs.
La communication doit être claire et directe afin que chacun comprenne bien le sens des décisions prises par l’entreprise.
Il ne faut pas hésiter à expliquer clairement les raisons qui ont conduit à prendre une décision ou à donner un avis contraire aux opinions exprimées par certains collaborateurs. Enfin, il est important d’être capable de résoudre les conflits au sein du groupe plutôt que d’attendre que le problème soit réglé par un tiers extérieur à l’entreprise (client, fournisseur…).
La réglementation des entreprises
La réglementation des entreprises est un sujet qui fait l’objet de nombreuses discussions.
Il est important que les entrepreneurs sachent ce qu’il en est, afin de pouvoir prendre connaissance des différents règlements et obligations auxquels ils doivent se soumettre. Avant toute chose, il faut savoir qu’une entreprise peut être considérée comme une personne morale ou physique.
Les personnes morales représentent les sociétés, alors que les personnes physiques représentent les individus. Dans le cadre du droit français, la notion d’« entreprise » recouvre à la fois une entité juridique et une activité économique exercée par cette entité juridique. Parmi les plus connues figurent notamment : – La société anonyme (SA) ; – La société par actions simplifiée (SAS) ; – La société à responsabilité limitée (SARL).
Lorsque vous créez votre propre entreprise, il est primordial de vous mettre en conformité avec la loi applicable. En effet, si vous ne respectez pas la législation en vigueur, vous risquez d’être sanctionné pour non-respect des règles relatives au travail ou encore pour abus de biens sociaux si votre entreprise se trouve dans une situation financière délicate.
Il existe également une autorité chargée d’appliquer ces textes réglementaires : Cela varie selon le pays concernant l’implantation géographique de l’activité et du lieu de résidence du chef d’entreprise et/ou des salariés qui y travaillent (France métropolitaine ou DOM-TOM).
La fusion et l’acquisition d’entreprises
Les fusions et acquisitions permettent de créer des entreprises rentables. Pour réussir une fusion ou une acquisition, il est important d’analyser la situation économique des sociétés concernées par l’opération.
La première étape consiste à faire le point sur les forces et faiblesses de chaque entreprise. Cela permet notamment d’avoir une meilleure vision du marché et de mieux appréhender l’avenir. Une analyse fine du marché est essentielle pour tout projet d’acquisition ou de fusion.
Il faut savoir analyser les différents facteurs qui influencent le marché, comme la structure concurrentielle, la position stratégique, la clientèle cible ainsi que l’environnement macro-économique. De plus, il est nécessaire de bien connaître ses partenaires commerciaux afin d’obtenir leur accord pour un tel projet.
Lorsqu’une société souhaite se développer grâce à un rachat ou une fusion, elle doit être consciente qu’elle va devoir modifier son organisation interne en intégrant ses différents collaborateurs au sein de sa propre structure afin d’assurer un succès complet.
Les questions fiscales et financières
Les questions fiscales et financières sont souvent les plus complexes à appréhender. Pour vous aider, voici quelques conseils pour y voir plus clair.
La fiscalité du patrimoine dépend de la nature des biens que vous possédez.
Vous pouvez être soumis à un régime d’imposition sur le revenu ou au régime de l’impôt sur les sociétés.
Il est également possible que vos revenus immobiliers soient taxés de la même manière que votre salaire et ne bénéficient donc pas d’un abattement particulier. Cela peut notamment être le cas si vous achetez un logement principal et que vous le mettez en location par la suite. En revanche, si vous optez pour l’impôt sur les sociétés, les dividendes perçus seront imposables à hauteur de 25 % (17,2 % + 12,1% si votre entreprise est cotée), contre 50 % pour l’imposition des revenus fonciers classiques.
Votre société devra ensuite reverser 17,2 % au titre du prélèvement social et 10,4 % au titre de la contribution additionnelle aux prélèvements sociaux (CAS).
Les plus-values immobilières sont soumises aux prélèvements sociaux selon le même barème que celui qui s’applique aux revenus fonciers : il faut donc compter 17,2 % au titre du prélèvement social ainsi que 2 % pour la contribution additionnelle aux prélèvements sociaux (CAS).
L’avocat est un fruit qui peut être consommé en dehors de la période des fêtes. Il peut être mangé en salade, dans une recette ou encore incorporé dans une préparation sucrée. L’avocat est riche en vitamines et minéraux et contient des fibres alimentaires qui aident à réguler le transit intestinal.